Les espaces du collège
-
Collège frédérique hartmann
munster, 2020-2021
Lors de cette résidence, j’ai amené les élèves à s’interroger ensemble ou individuellement sur les espaces communs qui les entourent : l’école et ses alentours. C’est un lieu qu’ils traversent tous les jours pendant plusieurs années mais qu’ils ne voient plus. Qu’est-ce qui fait un espace intéressant ? Comment arrêter le regard dans un couloir ? Pourquoi ne regardons-nous plus à travers les fenêtres ?
Redonner du sens à ces espaces de vie qui l’ont perdu et faire en sorte qu’on les observe à nouveau.
J’ai questionné les habitants de cet établissement et je les ai accompagnés dans l’expression de leur créativité plastique à travers différentes approches. C’est en faisant des recherches autour de trois dimensions : la cartographie, les fenêtres et les portes, qu’ils ont reconquis leur collège par la poésie, le fantastique, l’humour, et parfois l’étrange.
En novembre 2020, chacune des 5 classes a travaillé avec moi en parallèle de leurs professeurs d’histoire-géographie, de français et d’arts plastiques, en classe entière pendant 3 heures la première semaine. Puis la deuxième semaine, ils ont travaillé en demi-groupes et pendant une demi-journée, dans la salle qui m'était attitrée, devenue atelier pour l’occasion. Pendant ces temps en classe et en atelier, les élèves ont dessiné les paysages à travers les fenêtres, peint les portes, inventé des noms aux couloirs, écrit des poèmes, imaginé des légendes, travaillé le plan du collège et illustré leurs recherches avec différentes techniques plastiques mis à disposition dans l’atelier.
Les collégiens se sont pris au jeu avec sincérité, se sont questionnés, ont peint, dessiné, fantasmé, écrit, repensé leur collège. Ils ont pris à cœur ce projet et leurs productions ont été d’une grande qualité plastique et sémantique. Les œuvres sont installées sur ces grilles et dans les couloirs, pour donner à voir les recherches plastiques et écrites des jeunes artistes. Certains textes produits ainsi que de nouveaux ‘‘noms de rue’’ inventés par les élèves sont collés en découpe vinyle, sur les murs, les portes et les fenêtres du collège et marqueront ainsi ce travail en résidence à travers les années.
Lors de cette résidence, j’ai amené les élèves à s’interroger ensemble ou individuellement sur les espaces communs qui les entourent : l’école et ses alentours. C’est un lieu qu’ils traversent tous les jours pendant plusieurs années mais qu’ils ne voient plus. Qu’est-ce qui fait un espace intéressant ? Comment arrêter le regard dans un couloir ? Pourquoi ne regardons-nous plus à travers les fenêtres ?
Redonner du sens à ces espaces de vie qui l’ont perdu et faire en sorte qu’on les observe à nouveau.
J’ai questionné les habitants de cet établissement et je les ai accompagnés dans l’expression de leur créativité plastique à travers différentes approches. C’est en faisant des recherches autour de trois dimensions : la cartographie, les fenêtres et les portes, qu’ils ont reconquis leur collège par la poésie, le fantastique, l’humour, et parfois l’étrange.
En novembre 2020, chacune des 5 classes a travaillé avec moi en parallèle de leurs professeurs d’histoire-géographie, de français et d’arts plastiques, en classe entière pendant 3 heures la première semaine. Puis la deuxième semaine, ils ont travaillé en demi-groupes et pendant une demi-journée, dans la salle qui m'était attitrée, devenue atelier pour l’occasion. Pendant ces temps en classe et en atelier, les élèves ont dessiné les paysages à travers les fenêtres, peint les portes, inventé des noms aux couloirs, écrit des poèmes, imaginé des légendes, travaillé le plan du collège et illustré leurs recherches avec différentes techniques plastiques mis à disposition dans l’atelier.
Les collégiens se sont pris au jeu avec sincérité, se sont questionnés, ont peint, dessiné, fantasmé, écrit, repensé leur collège. Ils ont pris à cœur ce projet et leurs productions ont été d’une grande qualité plastique et sémantique. Les œuvres sont installées sur ces grilles et dans les couloirs, pour donner à voir les recherches plastiques et écrites des jeunes artistes. Certains textes produits ainsi que de nouveaux ‘‘noms de rue’’ inventés par les élèves sont collés en découpe vinyle, sur les murs, les portes et les fenêtres du collège et marqueront ainsi ce travail en résidence à travers les années.
